Pourquoi les gens voyagent-ils pour des raisons médicales?
Par Emily Carrese-Chacra et Mathieu Turgeon
Le tourisme médical est défini par un déplacement dans un pays autre celui de sa résidence habituelle pour s’y faire soigner. Cette forme de tourisme devient de plus en plus répandue alors que le Canada est réputé pour ses avancées en médecine. Pourquoi les gens pratiquent-ils le tourisme médical? La qualité des soins internationaux et les complications des soins locaux expliquent ce phénomène devenant de plus en plus populaire.
D’abord, l’augmentation du nombre de patients internationaux peut être expliquée par le prix significativement moins élevé des services à l’étranger. En effet, le coût des soins dans des pays moins développés se trouve à être 10 à 20 fois moins cher que dans des pays industrialisés. Comparé aux pays développés, les pays plus pauvres possèdent un coût de la vie moins cher et des frais administratifs moins élevés, ce qui explique les soins moins dispendieux. Par exemple, un remplacement valvulaire passe de 200 000 à 10 000 $. Au fond, le coût moins dispendieux des services à l’étranger capte l’attention des malades.
Ensuite, la popularité du tourisme médical peut aussi être expliquée par la bonne qualité et la diversité des soins. Effectivement, depuis plusieurs années, des pays de l’Amérique latine et de l’Asie offrent des soins améliorés, donc les patients internationaux en profitent également. Parfois, les soins locaux sont limités. Par exemple, l’avortement n’est pas permis dans certains pays. En fin de compte, l’amélioration des soins internationaux justifie le succès du tourisme médical qui devient un plaisir touristique.
Enfin, les complications qui surviennent lors de la recherche de soins locaux augmentent l’affluence du tourisme médical. Les délais de chirurgie est un bon exemple de complication : « L’autre facteur qui motive le tourisme médical est lié aux listes d’attente pour des interventions sélectives et à ses conséquences. Au Canada en 2005, plus de 750 000 personnes étaient sur une liste d’attente. » (Revue Médicale Suisse). De plus, un deuxième exemple de complications serait le défaut de couverture des assurances maladies. Aux États-Unis, on compte 50 millions de personnes qui n’ont pas le support de l’assurance maladie. Bref, les malades voyagent pour obtenir les soins nécessaires à cause de difficultés qui surviennent dans leur système de santé local.
En guise de conclusion, les gens pratiquent le tourisme médical à cause du prix attrayant, de la qualité et la diversité des soins et des complications des soins locaux. On estime 500 000 Américains voyageraient chaque année pour recevoir des soins médicaux à l’extérieur de leur pays d’attache. Toute porte à croire que ce nombre augmentera.
D’abord, l’augmentation du nombre de patients internationaux peut être expliquée par le prix significativement moins élevé des services à l’étranger. En effet, le coût des soins dans des pays moins développés se trouve à être 10 à 20 fois moins cher que dans des pays industrialisés. Comparé aux pays développés, les pays plus pauvres possèdent un coût de la vie moins cher et des frais administratifs moins élevés, ce qui explique les soins moins dispendieux. Par exemple, un remplacement valvulaire passe de 200 000 à 10 000 $. Au fond, le coût moins dispendieux des services à l’étranger capte l’attention des malades.
Ensuite, la popularité du tourisme médical peut aussi être expliquée par la bonne qualité et la diversité des soins. Effectivement, depuis plusieurs années, des pays de l’Amérique latine et de l’Asie offrent des soins améliorés, donc les patients internationaux en profitent également. Parfois, les soins locaux sont limités. Par exemple, l’avortement n’est pas permis dans certains pays. En fin de compte, l’amélioration des soins internationaux justifie le succès du tourisme médical qui devient un plaisir touristique.
Enfin, les complications qui surviennent lors de la recherche de soins locaux augmentent l’affluence du tourisme médical. Les délais de chirurgie est un bon exemple de complication : « L’autre facteur qui motive le tourisme médical est lié aux listes d’attente pour des interventions sélectives et à ses conséquences. Au Canada en 2005, plus de 750 000 personnes étaient sur une liste d’attente. » (Revue Médicale Suisse). De plus, un deuxième exemple de complications serait le défaut de couverture des assurances maladies. Aux États-Unis, on compte 50 millions de personnes qui n’ont pas le support de l’assurance maladie. Bref, les malades voyagent pour obtenir les soins nécessaires à cause de difficultés qui surviennent dans leur système de santé local.
En guise de conclusion, les gens pratiquent le tourisme médical à cause du prix attrayant, de la qualité et la diversité des soins et des complications des soins locaux. On estime 500 000 Américains voyageraient chaque année pour recevoir des soins médicaux à l’extérieur de leur pays d’attache. Toute porte à croire que ce nombre augmentera.